Contribution spécial compassion du n° 20
Je vais de temps en temps à l’hyper marché du coin, pas souvent, mais pour certaines choses que je ne trouve pas à ma bio-coop. Dans la queue, à la caisse, les caddies pleins de « junk food », les gens ont le regard soucieux, les traits tirés, malgré toute cette abondance, ils ont l’air tellement malheureux, tellement perdus et insatisfaits.
J’ai comme une crispation au creux de l’estomac, et je ressens une compassion que je ne peux pas décrire. Oui, le Bouddha a raison, sans une perspective spirituelle, tout est dukkha. Comment prendre ma pratique plus au sérieux, pour aider tous les êtres…
Laurence
